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Dec 4, 2018
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L’histoire du grand peintre dans la première rétrospective depuis 1963
Un tableau géant pour une exposition riche, plein d’œuvres extra-large: tout est grand au Louvre pour la rétrospective « Delacroix (1798-1863) », ouvert au public du 30 Mars au 23 Juillet dans la salle Napoléon. C’est la première rétrospective complète à Paris depuis 1963, lorsqu’une exposition mémorable a été consacrée à Eugene Delacroix pour le 100e anniversaire de sa mort. Dans l’exposition au Louvre – organisée avec le Metropolitan Museum of Art à New York – sont 180 œuvres du principal du grand peintre, du Louvre lui-même, de Lille, Bordeaux, Nancy, Montpellier, mais aussi des États-Unis, la Grande-Bretagne , Allemagne, Canada, Belgique et Hongrie.
Une exposition qui se veut un tour à travers le collecteur et la carrière volcanique Delacroix, qui comprend plus de 40 années de travail – 1821-1863 – et ne manquez pas les peintures qui ont été donnés à la gloire éternelle Delacroix, comme le « 28 Juillet 1830, La liberté qui guide le peuple “. Le parcours de Delacroix, comme sa personnalité, témoignent de son désir d’étonner, parfois d’innover, de l’ambition et du goût de s’immerger dans des expériences profondément différentes. Il commence par les fortes impulsions du jeune artiste Delacroix dans les Salons des années 1820, se terminant par des compositions religieuses ou paysagères. Le parcours est une histoire de recherche incessante, d’un désir d’originalité et de renouvellement continu. Vous rencontrez, pièce après pièce, même la personnalité de l’homme Delacroix, charmant et affamé de gloire ainsi que consacré au travail. La curiosité, la virtuosité et la ductilité sont évidentes lorsque Delacroix change brusquement de genre, de technique et de perspective.
Il s’ouvre avec “Il Tasso in Prigione”, continue avec “Dante et Virgilio all’Inferno”. Continuez et vous arriverez à la fois ‘ « extra-large », « Mort de Sardanapale » et « La chute de croisés Constantinople », deux tableaux du Louvre et si grand qu’il ne peut pas être transféré à la salle Napoléon, et qui imposent détour dans le hall Mollien au premier étage (aile Denon). A côté de ces deux œuvres, “Le Christ dans le jardin des Oliviers”, prêtées par la Ville de Paris et exceptionnellement prélevées sur le transept de l’église Saint-Paul-Saint-Louis. Le pià moderne Delacroix célèbre la révolution de 1830 avec « Liberté guidant le peuple », l’une des peintures françaises les plus célèbres de tous les temps, puis commence à se plonger dans les genres les plus divers, de la peinture littéraire aux plus innovants, proposant toujours des normes et interprétations nouveau. Un endroit mérite un chapitre du voyage en Afrique, au Maroc, la « nouvelle Rome » ou que, d’après Delacroix désormais célèbre qui accompagne une mission diplomatique comte de Mornay, qui mieux encore une fois, selon lui, les valeurs du monde antique gréco-romain. Le public a alors l’occasion de redécouvrir toutes les implications de “La morte di Sardanapalo”, un scandale cadre du romantisme, détesté par les classiques et en contraste avec les canons académiques.
Il y a eu un concours de célébrités en le critiquant et en trouvant des erreurs, Stendhal est venu vous reconnaître du “satanisme”. Stendhal a été le premier à découvrir les potentialités de ces couleurs chaudes, de sang, de feu, d’abord en contrepoint.